Fabriqué par la Société d'Études et Fabrications Aéronautiques
Homologué en 1960
(emploi autorisé le 8 juillet 1960)

COMPOSITION DE L'ENSEMBLE
- une armature métallique comportant la soupape d'expiration, le microphone et les écouteurs et sur laquelle est fixée une cagoule en caoutchouc assurant l'étanchéité au niveau de la visière mais aussi du cou et thorax du pilote
- une deuxième armature métallique sur laquelle est fixée une cagoule en nylon retenant celle en caoutchouc. Elle s'ouvre sur l'arrière à l'aide d'une fermeture à glissière et est réglable grâce à un système de laçage.
- une visière en plexiglass équipée d'une résistance électrique de dégivrage.
- une coque se fixant sur la partie métallique extérieure de la cagoule à l'aide de trois tourniquets et fixée aux sangles de la combianison par un système de câble et roulettes. Elle est équipée d'un écran anti-solaire rabatable.
- un tube d'arrivée d'oxygène permettant d'alimenter simultanément la combinaison et le casque.


CARACTÉRISTIQUES PRINCIPALES
- Elément de l'équipement stratosphérique
- A utiliser avec l'élément complémentaire : Combinaison EFA type 30 ou similaire, sur avion devant évoluer à plus de 15 000 mètres et équipé d'un ensemble de régulation Vergne Intertechnique type 219 ou équivalent
- Confectionné en une seule taille
- Visière à désembuage électrique 24V.
- Soupape unique compensée inspiratoire et expiratoire
- Equipement radio classique
- Ecran pare-soleil
- Cable de retenue s'agrafant sur la combinaison
- Ventilation incorporée, utilisable au sol et en vol
- Masse : Casque 1,950 Kg


SERVITUDES PARTICULIÈRES D'INSTALLATION
Le personnel utilisateur doit avoir abtenu le contrôle d'aptitude aux vols stratosphériques
Nécessite un réglage des laçages par un personnel qualifié, et un entretien méticuleux

REMARQUE(S)
Les dernières versions comportaient un dispositif de climatisation au sol.
Le casques type 12 souffrait de quelques désagréments tels que :
- lors de la mise en pression, la rotation de la tête devenait impossible d'où une réduction du champ visuel
- la visière claire était relativement difficile à mettre en place et à ouvrir dans l'avion
- il était nécessaire de changer fréquement la cagoule en caoutchouc