|
|
|
|
|
Fabriqué par E. Guéneau & Cie
Homologué au lendemain de la seconde guerre modiale
COMPOSITION DE L'ENSEMBLE
Une coque type bol perçée de deux trous d'aération et équipée de 2 passants à lunettes, de 2 passe-fils et d'un volet de réglage.
Une coiffe intérieure et deux flans équipés de bavolets pressionnés contenant les écouteurs.
CARACTÉRISTIQUES PRINCIPALES
Coque en carton ou cuir bouilli recouvert de cuir
habillage en cuir
SERVITUDES PARTICULIÈRES D'INSTALLATION
Utilisé avec des lunettes de vol, un masque à oxygène et/ou un laryngophone (Ericsson, SIR aviation ou Philips) et des écouteurs Ericsson ou Elno.
REMARQUE(S)
Les casques de la série Airaile construits après la seconde guerre mondiale, à savoir les types 12 et 14 sont quasi identiques au type 11, modèle construit lui en 1939. Quant au Type 15, il se différencie par la présence de boutons pression sur les joues permettant l'agrafage d'un masque à oxygène. Il est à noter que la société Guéneau partageait la conception des Airaile avec la société Zinszner. L'une des différences était l'orthographe du nom Airaile, écrit avec un "L" pour la compagnie Guéneau et deux pour ceux fabriqués par Zinszner.
A noter que cet exemplaire de type 14 possède sur chaques joues, un crochet d'origine anglaise (modèle équipant les dernières version de bonnet de vol type C de la RAF) sousus dans l'épaisseur des flans afin de permettre l'agrafage éventuel d'un masque à oxygène. Cet modification n'est pas forcément une caractéristique des type 14 - cela reste à être démontré. |
|
|
|
|
La reconstitution présentée illustre l'équipement de tête d'un élève-pilote sur SV-4C Stampe de l'armée de l'air française au début des années 50. Le casque Airaile Type 14 est équipé d'une acoustique Elno gaînée de caoutchouc à laquelle est adjoint un laryngophone Philips. Ce futur pilote a la chance d'avoir des lunettes de vol oTo construitent sur le même modèle que les fameuses Cébé 4000 qui équipaient les pilotes de chasse de l'Armée de l'Air durant la seconde guerre mondiale. La plupart des élèves devant se contenter de simples lunettes de soleil à montures. Des lunettes MkVIII anglaise furent aussi largement utilisées par les équipages de Stampe, surtout les moniteurs.
|
|
|
|
|